Le mot de la fin, donc, de cette sombre histoire de pilosité, revient à Valentine herself, par le biais de son auteure, Anne, qui, révoltée par le sort infâme, n'ayons pas peur des mots, qui m'a été réservé, a manifesté sa solidarité d'une bien drôle de façon. Qu'elle en soit remerciée pour les siècles des siècles. Je ne gagnerai pas le 4e tome des aventures de Valentine, mais ce dessin rien que pour moi, il valait l'humiliation suprême, n'ayons pas peur des mots (bis), que j'ai vécue. Tchu.
Merci Anne, ça me va sincèrement droit au coeur... et keske ça m'a fait rire !
PS : continuez à voter à droite pour faire perdre les "truies malhonnêtes" (je cite).