Un petit garçon israélien emmené à Moscou pour y subir un traitement d’injection de cellules souches embryonnaires a développé plusieurs tumeurs cancéreuses, au cerveau et à la moelle épinière. Les cellules employées avaient été prélevées sur deux fœtus avortés, et étaient de types différents.
Les cellules souches embryonnaires sont par nature cancérigènes : c’est même ce qui permet de les reconnaître. Mais les idéologues ne désarment pas : des scientifiques occidentaux invités à commenter l’information ont affirmé qu’il ne fallait surtout pas interrompre la recherche dans ce domaine !