Magazine Journal intime

En Direct Des 7 D'Or.

Publié le 21 février 2009 par Mélina Loupia
Définitivement, je crois que cette histoire de chaînes, de tags, de tags enchaînés, tout ça, ce n'est qu'un vaste fantasme, voire une névrose refoulée que jamais, non jamais, nous ne nous tiendrons la main ni partagerons le même boulet pour faire le tour de la blogosphère ensemble. Non, le bon temps, il est révolu.

Mais bon, afin d'éviter toute querelle inutile ou d'en créer une qui le sera pas forcément d'avantage, je vais me plier à la règle que Nicolas m'a dictée. (Notons que ça veut dire que j'ai lu sa note en entier, du début jusqu'à la fin, puisqu'il m'a collée ex aequo avec Cochon Dingue, qu'heureusement je lis parfois, que j'ai eu la chance d'entr'apercevoir au wunderbach salon organisé par Mlle Gima, Blogs et Livres, mais à laquelle je n'ai pas pu parler puisqu'elle était submergée par une horde de fans en délire rapport avec son hamster. Enfin, j'ai un doute affreux concernant son mac éditeur qui devait faire rabatteur de merlus en bas de la mairie du XIème, mais passons.

Après une introduction bourrée de liens qui ont tendance à fortement agacer les puristes, il s'agit de m'exécuter comme quoi je dois donner mes 7 blogs préférés dans ma blogroll.

Or, comme les fins limiers ont pu le constater depuis le temps qu'ils écument cet endroit parfois embouteillé, de ce truc qui colle, je n'ai point dans mes colonnes.

Alors certes, je suis comme les grandes filles de mon âge, qui, à 27 ans, décident de gérer leurs flux toutes seules.
Et c'est là dedans qu'il va me falloir repêcher la fameuse liste.

Et je suis sensée, censée, ouvrir la cérémonie des 7 d'or, dont j'apprends par hasard qu'elle n'existe plus.

Entrez et asseyez-vous, sinon, c'est samedi, y a des tas de trucs fascinants à côté ou derrière.

Tout d'abord, je dois me résoudre d'entrée de jeu à préciser mon incapacité à être un membre de jury intègre qui saurait choisir la qualité, le talent et la personnalité des gagnants.
Il va donc de soi que je suis bien incapable, du coup, de révéler mon septuor.
Mais si j'avais su, voilà ce que ça aurait donné.

Dans la catégorie meilleure fille féminine de l'année, j'aurais bien décerné la palme à Alexiane, ou encore Violette, voire même en poussant un peu, Fanny et La petite cervoise, encore que Sonia aurait largement mérité sa place. Mais des filles, y a plein, c'est une véritable infestation. Voire même une invasion. Du coup, je me demande si Elise ou Noisette n'auraient pas leur fauteuil légitime. Mais j'ai un peu peur que Spike ne me traite comme sa stagiaire.
Compliqué tout ça. Je vais m'arrêter là, en sachant que toutes les autres auraient pu contenir en se serrant un peu.

Dans la catégorie meilleur garçon masculin de l'année, là encore, j'ai le cul entre deux chaises. Oh des Didier bis, des Eric in the sky, des pingouins métrosexuels, des Francis seuls, des Jack cassés, ça, j'en ai. Alors un parmi tant d'autres, ça se fait pas, et puis les garçons, c'est très rancunier. Donc, se choisira tout seul celui qui pense qu'il mérite le prix plutôt que ses congénères. On peut pas toujours mettre Mry dans ses favoris.

Peut-être alors mettre une sous-catégorie chez les zizis, puisque certains d'entre eux ont un penchant pour la haute technologie, et là, encore un Eric,  voire deux, ou un Nicolas, voire un Philippe de plus, et du coup, me retrouver emmerdée parce que je devrais parler des filles qui n'ont pas leur sous-catégorie en tant que sachant mieux parler avec leurs yeux par exemple. Et là, j'aurais bien primé Lafailli, ou Catherine.

Ah mais du coup, les fines mines, elles devraient figurer au Panthéon des meilleures de chez moi. Ah alors oui, là, de la Popette, du Bamboo, de la Mary, de l'M , ça, y en aurait, sans parler de Thorn. Sauf que je serais bien emmerdée, vu que le seul blogbédé que je lise et qui, à priori me semble être celui d'un plombiste serait celui de La bande pas dessinée. Il se retrouve donc cerné d'ovaires et n'a pas intérêt à trop l'ouvrir. D'ailleurs, il le fait pas, le malin.

Il resterait donc quoi, comme récompense parmi les trois dont je dispose encore pour me faire lyncher par les grands absents?

Ah oui, celles qui sont apparues récemment ou là depuis tellement longtemps qu'on en dirait des moules sur un rocher, mais qui comptent , dont Melle A, Cécile, Nathalie, Elisabeth, Tarmine, Monette, Danièle, Lady, Petit bonbon, et toutes les autres que j'ai aimées, avant, qui sont devenues femmes maintenant.

Nous arrivons à l'avant-dernière gâterie, dans laquelle je ne vois plus trop vraiment qui ni dans quoi je pourrais mettre les lauréats. Ah tiens, fastoche, les ceux comme les celles du dessus là. Y aurait donc François, Damien, Charly, Benjamin, Calou, Anakin, Cultu, et Babylone.

Et c'est là que les athéniens s'atteignirent, que le bât blesse, que la couille éclabousse le potage, que le grain de sable grippe la machine et que le bordel naît de cette chaîne gluante dont je n'arrive que très difficilement à me dépêtrer, et vous avec, comme je vous comprends, comme je vous comprends. Enfin, les deux qui restent.

Je pourrais choisir la facilité en expliquant que mon lecteur de flux est déjà à sa fin après toutes les citations ci-dessus, mais je mentirais. Et le mensonge, c'est mal, surtout le pas vrai.

Il me reste à peu près une cinquantaine de liens et une infinité d'autres que je lis à l'occasion, sans m'abonner, sans systématiser la visite. Ce sont à ces derniers que je décide de remettre le prix d'honneur. Ils me connaissent et se reconnaîtront par là même.

Les heureux gagnants se voient également, en dehors de leur trophée, coller la chaîne que je viens de me taper. C'est le jeu ma pauvre Marinette.

Merci de votre attention.
Attention à la marche en sortant, les grosses têtes frustrées pourraient se manger une poutre.


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