Il y a ce temps le soir, un espace dans la journée, où quand bien même j’aimerais l’esquiver, je le remplis de crainte et de la peur du devenir. Quelles nouvelles m’apportera ce lundi ? Bonne ou mauvaise, peu importe la goutte qui s’écoulera, si seulement je pouvais en prévenir mon esprit pour savoir faire face. C’est un peu de moi qui chaque attente se mure de glace pour affronter le silence. J’espère que tu vas bien, que lundi tu sera. Alors, je referme le carton, et continu ma marche…
— Eleken