L'inquiétude de la Commission européenne est levée : la France ne fera pas preuve de "protectionnisme" pour son secteur automobile, contrairement à ce qu'avait annoncé Nicolas Sarkozy. La promesse s'est retournée au profit de l'Europe :
"La France s'est notamment engagée à ce que "les conventions de prêt avec les constructeurs automobiles ne contiennent aucune condition relevant de la localisation de leurs activités ou de l'approvisionnement en priorité auprès de fournisseurs installés en France".L'essentiel est sauvé et la fête ne sera pas gâchée : le sommet européen de demain pourra se dérouler avec les sourires de circonstance et les habituels faux-semblants superficiels. Le protectionnisme est assuré pour la bonne ambiance des éminences européennes. Quant aux pays et aux peuples...