Nota bene : ce billet, je l'ai écrit il y a plus d'un an, lorsque j'ai appris que le spectacle avait lieu à Paris. Je l'ai écrit puis remisé dans un coin d'un document word... et oublié... vu les circonstances de ma vie très West Side Storienne actuellement, je vous le publie...
12 décembre 2007.
Si vous ne connaissez pas West Side Story, passez votre chemin (enfin passez au billet suivant, hein, ou plutôt au suivant le suivant, mais ne partez pas définitivement bon sang).
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaargh.
Je n'ai pas trouvé d'autre titre que ce cri d'horreur lorsque j'ai réalisé l'ampleur du désastre qui se préparait.
Je veux aller vivre à Paris. Immédiatement. J'embarque tout, le boss, les collègues, le rat, les meubles, les DVD et la TV, et je m'installe là-bas.
Ce soir, j'ai appris que West Side Story se jouait à Paris. A Paris ! Où je ne vis pas.
West Side Story !!!!! Que je ne verrai pas. A Paris.
West Side Story. La comédie musicale de ma vie. LA comédie musicale de mon jeune temps (ah ma bonne Dame, en ce temps là, c'était autre chose). En fait, ma première découverte des comédies musicales.
Il date de quand ce film ? Oh je n'ose l'imaginer. J'en ai dernièrement parlé à une petite jeune, elle en ignorait jusqu'au titre. Comment, on peut donc ignorer l'histoire d'amour si dramatique de Tony et Maria !!! Comment peut-on vivre sans connaître West Side Story ?
Ok ok, ce film, il est un chouia démodé (vérification faite il date de 1961, j'étais même pô née). Vieillot. Mais intemporel. L'amour est intemporel. Les chansons sont intemporelles.
Et ce répertoire, je l'adore. D'ailleurs j'ai le CD. Et le DVD, tant qu'à faire. Et chaque fois que je le regarde, je finis en larmes, en vieille chose pleurnicharde et détrempée, déprimée, dépitée. C'est si boooooooooo. Et si triste.
Allez quoi, dites que vous me comprenez. Qui me comprend, qui ?
(j'ai bien trouvé une fan de la pub carte Kiwi, elle se reconnaîtra, y'aura bien un ou une fan de West Side Story parmi vous quoi, pitié).
(part 2 à 9 heures)