30 janvier 2008
Après une recherche minutieuse et une étude effectuée sur plusieurs sujet de sexe et d’appartenance ethniques différents, le syndrome de la « Bledus Chronicus » communément appelée « bleda w rkeka » semble être prédominant dans une population assez singulière appelée Les Tunisiens. En effet, après avoir localisé le gêne du syndrome étudié, nous avons été interpelé par une redondance importante de celui ci dans l’ADN d’un sujet issue de cette partie de la population mondiale. Une étude sur le terrain et plusieurs tests en laboratoire ont confirmé cette conclusion. Le gêne ne semble pas être le résultat d’une quelconque mutation. Les plusieurs et maintes tentatives de datation de l’apparition de cette séquence d’Adn, se sont soldées par un échec cuisant, laissant penser que le gêne fait partie de la constitution normale de cette population.
De plus profondes analyses sont à prévoir et nous esperons avancer de notre recherche.
2 octobre 2008
Une équipe d’archéologue a découvert accidentellement, un fossile d’une bactérie assez bien conservé, dans le nord du territoire tunisien. La datation au carbone 14 et une étude séquentielle d’un échenillant a donné des résultats stupéfiants. La bactérie fossilisé datte de l’époque à laquelle on estime que les première formes de vie sont apparues sur terre. Le laboratoire qui a effectué cette analyse nous a envoyé le fossile en question, puisqu’ils ont découvert une forme archaïque du gène provoquant la « Bledus Chronicus ». Et après une étude plus approfondie, tout laisse à croire que cette bactérie avait muté violemment selon le procédé connu sous le nom « Khalifus to3rafus » voilà déjà 160Ma d’année. Serais ce le premier ancêtre de cette population singulière ? Tout laisse à croire que oui. Ce qui expliquerait bien l’origine de la singularité remarquée.
Nous n’avons pas encore compris pour quoi ce gêne n’a pas été altérer au fil du temps et toute tentative d’étude comparative n’a pas donné de résultats satisfaisant. Nous avons donc décidé de créer une nouvelle classification de ce gêne, et la classe en question fut baptisée « Gene rkicus » vu qu’il attrape et ne lâche pas.
Vous aurait surement remarqué que la dernière expression que j’ai utilisée ne semble rien dire pour un individu issu d’un milieu non tunisien. Et vu le fait que notre équipe de chercheur n’en fait pas partie et que nous avons remarqué une altération du comportement de certains membre de l’équipe, ainsi que leurs manière de s’exprimer, nous avons conclu qu’une exposition prolongée avec des espèces portant le gêne, provoque une mutation de l’Adn et l’apparition de traces du gène à l’origine de la « Bledus chronicus ». Ainsi nous préconisons, une protection stricte pour tout le personnel laborantin et tout chercheur voulant se pencher sur le sujet et un contact bref avec la population et le matériel génétique.
3 octobre 2009
Chnoua sa7bi, mazalet ma kammeltech l’étude, arja3 ghodwa. Walla ija en9ollek 7aja… walla barra barra.
Par RadioDrama