L'enseigne date de 1924 et l'intérieur de 1903. La Belle Époque, madame.
Pas de lignes droites, rien que des courbes. L'Art nouveau et ses jolies femmes.
Une à chaque saison, peinte sur pâte de verre avec perles et bijoux, des fleurs plein les cheveux, le regard langoureux et la silhouette de Sarah Bernhardt.
Signé Louis Trézel, d'après les dessins du grand Mucha.
Voici un siècle que Paris dîne sous leurs yeux au sortir du Gymnase ou d'ailleurs.
Sarah Bernhardt y vint, Jean-Paul Gaultier y va. Paris mondain. Paris malin.
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