- Je suppose qu’il n’y a pas de fruit ? Lui dit-il d’une voix qu’elle jugea impatiente.
Toujours ces interrogations négatives ! Il l’accusait d’être paranoïaque, mais il y avait de quoi : « Je suppose qu’il n’y a pas de fruits » ce n’était quand même pas la même chose que « Est-ce qu’il y a des fruits » ! S’il posait des questions simples, elle n’aurait pas l’impression d’être remise en cause en permanence.
Ne cherchait-il pas à la rendre folle, tout simplement ?