13 mars 2009
Le salon dont on cause
Aujourd’hui, le Salon du Livre de Paris à ouvert ses portes (je précise « de Paris », parce que des Salons du Livre, il s’en tient un peu partout en France, ne pas préciser que celui-ci est celui de Paris c’est un peu comme nier tous les autres…). Même si j’y ai passé une partie de l’après-midi, par pur esprit de contradiction je vais vous causer théâtre. Et puis accessoirement, cela m’évitera de me creuser la tête pour tenter de dire un truc vaguement intelligent, drôle, inhabituel ou surprenant au sujet de ce fameux salon dont tout le monde parle en ce moment en essayant de trouver un truc à dire qui soit vaguement intelligent, drôle, inhabituel ou surprenant (voire tout à la fois pour les plus ambitieux).
Ce vendredi, je publie trois articles sur Culturofil : une critique de La Nuit de l’iguane, une autre sur Angela et Marina (la seule pièce de théâtre écrite par Nancy Huston, géniale auteure qui sera au Salon du Livre de Paris dimanche) (saperlipopette, j’avais dit que j’en causais pas !) et enfin un entretien avec Claudia Stavisky, metteuse en scène éclairée et directrice des Célestins à Lyon. Une grande dame de théâtre qui respire la connaissance et l’amour de son art. La qualité de sa réflexion, qui revient toujours à l’humain, fait du bien à entendre en cette époque où le théâtre se laisse parfois entraîner dans un cérébralisme froid. Je vous invite vraiment à aller découvrir son travail : avec trois de ses pièces qui tournent en ce moment, il doit bien y en avoir une pas trop loin de chez vous.
Voilà, maintenant que j’ai parlé d’autre chose, peut-être que dans un prochain billet je vous causerais de ce qui se passe Porte de Versailles (à Paris)…
Posté par D_K_ à 18:40 - Commentaires [0] - Rétroliens [0] - Permalien [#]Tags : Angela et Marina, Claudia Stavisky, Culturofil, Salon du Livre