Après la France (ici et là), c'est au tour d'évêques brésiliens de jeter la pierre à l'évêque de Recife. Quant à la forme de cet article, il est grand temps que les journalistes sachent que l'Église est "une, sainte, catholique et apostolique" dont le siège est à Rome et non composée de l'Église de France, de l'Église du Brésil, etc. C'est en laissant passer ces points de détails qu'on aide les ennemis de l'Église à rentrer le coin dans l'autorité du Pape qui s'étend sur l'Église universelle, composée des Églises particulières confiées aux évêques. Parlons donc de "l'Église en France", "l'Église au Brésil", etc.
Extrait de Lumen gentium (chapitre 3):
"Tous les évêques, en effet, doivent promouvoir et défendre l'unité de la foi et la discipline commune à toute l'Église, inculquer aux fidèles l'amour de tout le Corps mystique du Christ, particulièrement des membres pauvres et souffrants, l'amour de ceux qui sont persécutés pour la justice (cf. Mt. 5, 10); et ,enfin, promouvoir toute activité commune à l'Église entière, spécialement celle qui tend à accroître la foi et à faire briller aux yeux de tous les hommes la lumière de la pleine vérité".