Je suis sûr que dans quelques temps, quand il aura parcouru le purgatoire des humains, Bashung entrera dans le paradis des poètes, avec ses potes Brel, Ferré, Brassens, Barbara, Gainsbourg, et quelques autres. Il faisait partie de mon petit jardin depuis tellement longtemps qu’il a dû un peu me façonner à son image. Bashung était un peu plus proche des ch’tis que d’autres, depuis qu’il avait épousé la Lilloise Chloé Mons. Du coup, on est encore un peu plus triste.
Il aura pour moi le privilège des artistes : son œuvre lui survivra pendant longtemps. En juillet dernier, je lui avais consacré une page que je vous livre très modestement.