Magazine Journal intime

ZoB !

Publié le 15 mars 2009 par Lephauste

ZOb ! J'avais cru que tout était pas cuit ! Que tous nous n'étions pas que de la démarque, de la contre-façon, des diables en culotte de velours, du vif pour aller au gros. zOb ! J'avais pas vu que tout un pan de mur s'était fendu du rire des banquiers ! ZoB. Mais qu'est-ce qu'on a foutu tout en ayant rien à foutre de toutes les fanfares du désordre marchand, rien ? Rien, que l'on a fait, tout à la bonne conscience, la bonne santé, la morale altruiste, la bonne bourre, le bon beurre, le beau, la bonne, l'abracadabra cassé et pour le reste restait la charité. Nous avons tous été, tout été de ce qui il restait à être avant qu'on démonte. La bonne pâte d'humain à la coulée franche de creuset en creuset, de moule en moule, des séries conforme au mécanisme rutilant des temples percés de lumières édèniques. Des précipices que nous avons explorés n'est remontée que la peur du noirte, des espaces que nous avons quadrillés ne sont restés que les failles par où la nuit abolit les cellules des quartiers de hautes et folles sécurités. ZOB ! Nous aurions tout niqué ? Pas joignables ! Non, nous ne pouvons pas nous en remettre au constat. Pas possible ! C'est nous ça, sur la photo ? C'est nous ? Tu plaisantes j'espère ! Mais non mais attends tu ...

Bleue pour moi la chair à canon ! Comme le faux filet, le faux fuyant, la révolte qui se prend les pieds dans le tutu, les mots d'amour. Bleues parce que Bleus.

Il y a, pas loin de chez vous un G20, on y tient une permanence quasi nocturne, les réunions y sont parfois houleuses mais restent d'une courtoisie charmante. Mais quand vous en sortez du G 20, toujours vous vous dites que l'on ne vous y reprendra plus. Oui mais à chaque fois que nous en sortons nous nous dites que l'on ne vous y reprendrons plus. zoB ! ZOb ! ZoB ! ZOB ! J'avais cru, bon blanc, qu'il restait à dévorer ! ZOb !


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