C’est une mélancolie si grande qui me laboure le coeur ce matin,
Où es-tu, où te caches tu ? Pourquoi ne réponds-tu pas ?
Je sais que le destin est dans le vent qui me caresse de ce refrain,
Mais où es-tu, amarante fleur de printemps, quelque part sur ce chemin que je foule de mes pas…
Il y a éternité et éternelle, passion et ribambelle,
Je ne souffre que de trop en faire, attendant d’être libéré,
Des chaînes que sont les secondes que j’égrenne, en attedant tes dentelles,
Ainsi respire le temps et l’attente, d’un homme possédé….
— Eleken,
Un peu de Tarja, une pointe de natural born killers