Minute a interrogé Patrick Binder, président du groupe FN au conseil régional d’Alsace, qui a lancé début mars un projet intitulé « L’année de l’Alsace » :
"la Ligue des droits de l’homme, la Cimade, la Licra, SOS Racisme, le Clapest (Comité de liaison d’associations pour la promotion des immigrés en Alsace), le Mrap sont invités à venir dans les lycées pour distiller leur propagande habituelle sur le racisme, l’antisémitisme ou les discriminations. Tous ces gens n’ont à offrir qu’une réflexion et une vision négatives de notre société. J’ai donc décidé de faire une contre-proposition en imaginant une année de l’Alsace destinée à mettre en valeur son patrimoine culturel. Au lieu de toujours parler à la jeunesse de racisme et d’antisémitisme, présentons-lui les beautés et les richesses de la région dans laquelle elle vit: son histoire, sa peinture, ses musiciens, ses musées, sa langue. Mon but est que «L’année de l’Alsace» remplace «Le mois de l’autre». Celui-ci doit purement et simplement disparaître. Toute la jeunesse devrait être touchée par ce projet, y compris celle qui vit dans les cités. Existe-t-il un plus grand facteur d’intégration que celui consistant à connaître la région dans laquelle on est né et dans laquelle on vit ?"
"la Ligue des droits de l’homme, la Cimade, la Licra, SOS Racisme, le Clapest (Comité de liaison d’associations pour la promotion des immigrés en Alsace), le Mrap sont invités à venir dans les lycées pour distiller leur propagande habituelle sur le racisme, l’antisémitisme ou les discriminations. Tous ces gens n’ont à offrir qu’une réflexion et une vision négatives de notre société. J’ai donc décidé de faire une contre-proposition en imaginant une année de l’Alsace destinée à mettre en valeur son patrimoine culturel. Au lieu de toujours parler à la jeunesse de racisme et d’antisémitisme, présentons-lui les beautés et les richesses de la région dans laquelle elle vit: son histoire, sa peinture, ses musiciens, ses musées, sa langue. Mon but est que «L’année de l’Alsace» remplace «Le mois de l’autre». Celui-ci doit purement et simplement disparaître. Toute la jeunesse devrait être touchée par ce projet, y compris celle qui vit dans les cités. Existe-t-il un plus grand facteur d’intégration que celui consistant à connaître la région dans laquelle on est né et dans laquelle on vit ?"