Comme tous les mois, là , au café de Carros,
Un bon cappucino, c'est vrai là c'est féroce,
Un passage à la poste et au tabac du coin,
Oui tout est concentré ya même ed pas loin!
J'ai cherché recherché ma bague en titane,
Je l'ai perdue ici, pour elle c'est un drame,
Un premier souvenir, des images magiques,
D'un amour naissant sans plus de réthorique!
Bah on a rien trouvé, et même le portable,
On a du le gratter, peut être sur la table,
Les choses matérielles sont si peu dans nos vies,
On respire la foi, à Dieu on est soumis!
J'ai adoré le sucré de l'âpre caféine,
Dehors il pleuvait, pour nous pauvres miskine,
Je lui ai pris la main au risque t'imagines,
Glisser sur le bitume, l'approche de l'abîme...