Sur moi pèse ce silence,
Qui dure et dure depuis trop longtemps,
Quel est cet augure, cette rance,
Pourquoi ne réponds-tu pas, je suis ignorant.
Vous qui savez ce que la vie veut,
Vous qui pouvez respirer sans souffrir,
Gouttez bien le temps de rire,
Car cette simplicité peut vous dire adieu.
Alors, je suis là à écrire,
Sans motif mais pas sans dire,
Que je t’espère et me fait rêver,
D’un lendemain enlacé.
— Eleken,
Vous ai-je dis combien les lundis sont des jours toujours assez dur pour moi,
Merci à tout ceux qui sont venu samedi, ce fut une soirée joyeuse