Or, comme c’est Dieu qui est
notre roi suprême, qui nous appelle à son service, courons de toutes nos forces
pour nous rendre à Son appel, de peur qu’ayant fort peu de temps à vivre, nous
ne nous trouvions, à notre dernière heure, misérables et privés des mérites des
bonnes œuvres; et que nous ne périssions par les horreurs de la faim.
Semblables aux soldats qui s’étudient à se rendre agréables à leur général, ne
négligeons rien pour nous rendre agréables à Dieu; car Il nous demande qu’après
nous être enrôlés sous Ses étendards, nous Le servions avec ferveur et
fidélité. saint Jean
Climaque : L'Échelle sainte