Le printemps: la belle saison enchanteresse
la terre noire sous tes pieds
Vagues silencieuses
Sirènes alanguies en surcots de fleurs
Houle mystérieuse des sourires fugaces
Une onde discrète agite le sous-bois
Et disparaît.
A la façon d'un Haiku du nord
Plus long et bavard
pépiant comme un oiseau
Sur le bord du chemin:
J'espère arrêter le voyageur!
Senaq Avril 09