Les mains inutiles, les taches vide d'accomplissement, à la ceinture des conflits, on se confond en excuses, ou se fait discret pour passer, presque l'air de rien.
Il y a tellement à dire sur cette tranche humaine, par la lecture de ses contours, ses recours aux mots si caractéristiques de son identité. Un beau numéro est affilié à ces personnes, celles qui se retrouvent au sommet de la suffisance, sautent adroites d'accès en bien belle aisance ; elles se sentent au sein du monde divin, le divan des mondains.
Elles sont à coté de nous autres -cas simplifiés-, qui fuyons ce monde étroit, la puissance d'une machine bien (mal) rodée, le réseau des pouvoirs où elles ont fondé leur place bien chaude (et constipante).