Magazine Journal intime

A la recherche de la gaufre perdue

Publié le 09 septembre 2007 par Fyfe
Au lieu de réfléchir au contenu de mon sac à dos, j'ai mangé des gaufres.
Ca m'a pris hier, la folle envie de gaufres au chocolat, juste après ma séance de supermarché (2 heures au Mo*nop pour choisir les gels douche, et coton tige de voyage).
Alors au lieu d'aller finir nos courses de voyage au vieux qui campe, on est allés à Tydar pour acheter un gaufrier.
Bizarrement, personne n'avait prévenu Tydar que 31 ans s'étaient écoulés depuis le mariage de mes parents, et que personne n'allait mettre 2 millions de dollars dans un gaufrier vintage.
J'ai failli pleurer (il ne faut pas contrarier les filles qui arrêtent de fumer).
A ce moment là, j'ai dû retourner au supermarché parce que j'avais oublié d'acheter des trucs pour abreuver les zamis qui allaient venir à la maison le soir.
Faute de gaufrier, je n'ai pas acheté de Nut*ella pour accompagner les gaufres de mes rêves.
Alors je me suis consacrée à la recherche d'un endroit qui vendrait des gaufres toutes faites.
Mais faut croire que ce n'est vraiment plus à la mode, les gaufres, parce que PERSONNE n'en vendait dans un périmètre de 1 kilomètre autour de ma maison.
Là, j'ai pleuré.
Du coup, le Chéri a proposé d'aller voir dans la petite boutique là-bas si par hasard ils n'avaient un gaufrier.
Il était beau, il était petit, et il n'était pas cher (ce qui compte quand on sait qu'il va occuper une mini-cuisine parisienne et qu'il sera utilisé une fois tous les 5 ans environ).
Bref, je l'ai tout de suite aimé et adopté.
Là, je me suis aperçue que je n'avais pas de Nu*tella.
Horreur, malheur.
Troisième visite de la journée au supermarché, donc.
Quand j'ai ramené mon précieux butin à la maison, le Chéri m'a demandé : "on a des oeufs ?".
...
Alors il paraîtrait que sans oeufs, on ne peut pas trop faire de gaufre.
Les lois culinaires sont cruelles je trouve.
Dimanche, je suis donc allée devinez où pour acheter des oeufs.
Et, enfin, par miracle, j'ai pu manger des gaufres.
Tout l'après midi.
Fallait bien rentabiliser, non ?
A l'heure où je vous écris, j'ai un peu la nausée, et je commence à me paniquer sévèrement rapport au sac-à-dos qui n'est pas prêt du tout alors qu'il ne me reste qu'une micro-soirée pour m'en occuper, et que stressée comme je vais être, à tous les coups je vais oublier un truc genre mon passeport ou les billets d'avion.
Oups.

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