"déplore et condamne avec indignation l'attentat criminel (...) Cet acte reflète une attitude d'intolérance et un recours à la violence qui portent atteinte aux principes de coexistence démocratique dans notre pays".
Le cardinal Terrazas a eu plusieurs accrochages avec le président socialiste bolivien Evo Morales, qui l'a accusé d'être au service de l'opposition de droite. La presse sud-américaine relève l'événement et se montre moins tiède que celle de France (une seule dépêche AFP à 01h27 ce matin) : voir ici, ici, ici ou là par exemple.
Lahire