la pendule du temps s'égrenne assassine,
et en sous vêtements je regarde l'abîme,
les fleurs sont fanées et le printemps pluvieux,
inonde mes détresses , l'amour malheureux!
je pleure cette angoisse qui me permet de vivre,
et tant de boutes en train que l'on ne pourrait suivre,
être écartelé si lisse de surface,
qui pleure sa misère , assis, de guerre lasse!
si le monde qui tourne rejette les bourgeons,
nous serions si perdus au delà des cocons,
les caméras du centre ont travesti nos âmes,
la jeunesse se meurt et nous rendons les armes!