On se rapelle tous l’horreur de la nouvelle. Quelque chose comme 240 coups de couteaux. On se demande comment l’être humain peut en arriver à de tels actes. Il est une chose en tout ca qu’il faut reconnaitre aux anglais, et que nous aimerions voir en France: La discrétion autour du procès.
La presse est muselée, les médias condamnés à la portion congrue. Le juge peut exiger le huis clos. Celà peut paraitre anti démocratique, puisque la presse ne peut pas dire ce qu’elle veut, mais celà me parait essentiel pour la protection des accusés et de leurs droits les plus élémentaires.
Dans la loi francaise, il y a la présomption d’innocence. N’est elle pas bien mise à mal quand on voit l’opnion se déchainer autour des accusés, qui, rappelons le, ne sont encore que des accusés et non pas des condamnés!
Des exemples comme l’affaire d’Outreau de sinistre mémoire sont là pour nous le rappeler!
En france, tous nos procès, pour lors qu’il atteignent une certaine notoriété, me semblent perturbés, pollués par la pression de l’opinion publique et des médias. Celà est contraire aux droits es accusés, et empêche la justice d’être rendue dans une atmosphère sereine et calme, qui devrait être la base de tout procès, quelle que soit l’horreur des faits jugés!
Nos amis d’outre manche ont compris cette nécessité absolue. Nous devrions prendre exemple sur eux!