Le Sac, un vrai calvaire n’est-il pas?
Le puits sans fond, la corne d’abondance, la caverne d’Alibaba sans les quarante voleurs et encore ils peuvent s’y cacher.
Le mien est noir avec un rond rouge qui entoure une Pochette avant qui tenons le nous pour dit, ne me sert jamais car je fourre tout dedans jusqu’à ne plus rien retrouver…
En même temps, déjà quand nos sac sont vide, nous y mettons la moitié du tronc pour trouver Le Stylo que l’on cherche depuis un quart d’heure, sans perdre espoir que celui-ci n’y soit pas, inconcevable qu’il n’y soit pas ceci dit. Le porte feuille qui se cache et crache toutes les pièces rouge (rose avec le temps) que nous n’utilisons pas puisque nous aimons tellement le “Cling Cling” du sac quand l’on marche.
Et je n’ai jamais compris comment une jeune fille pouvait perdre tout un tas de trucs dans un sac qui fait dix centimètres sur cinq, avec dedans pas moins de (attention Listing…):
-La Carte Bleu.
-Le paquet de mouchoir.
-Le téléphone.
-Les clefs.
-Les tampons en périodes de Drapeau Rouge.
Et avec tout ça, le sac, enfin la sacoche parait toute petite car rien ne sort une fois que la bête a englouti son quatre heure…
Il faut du courage l’air de rien pour oser y mettre la main, voir juste un doigt des fois que nous ne retrouvions que l’Os et encore légèrement rongé par le sac.
Ceci dit, c’est un outil indispensable à la survie des êtres humain…