Elles sont nombreuses et tout dans mon sens. A priori, c'est mon cas est particulièrement atypique puisque que c'est uniquement B qui a tout déterminé (contraire à une convention d'indivision donc caduque) et pris des engagements incapables de tenir, fréquemment mauvaise payeuse. Ce qui en somme aggrave son cas puisque je n'ai jamais eu mon mot à dire. Le juge déterminera le mode de calcul des indemnités d'occupation et là ce n'est pas de la tarte puisque l'absence de réponses, la rétention des documents et des clés n'ont pas permis la mise en vente dont son avocat avait donné son accord au nom de sa super cliente escroc. La crise immobilière arrivée entre-temps sera un des paramètres qui entrera certainement en ligne de compte.
Mon ex, ayant un DESS de droit, m'a communiqué quelques juridiprudences que je vais compléter. De nature curieuse, j'aime bien effectuer des recherches, me perfectionner ... mais là, j'avoue que dans cette affaire, je ne peux nullement y trouver un quelconque plaisir mais c'est bien un passage obligé. C'est plutôt chiant, une énergie épuisante mais B ne me laisse plus le choix. Tôt ou tard, il faut bien contrer la bêtise, la méchanceté, la malhonnêteté, l'injustice. C'est malheureux, navrant d'en arriver là. Triste monde ...