Magazine Journal intime

Arielle élimine même les traces de porc

Publié le 05 mai 2009 par Britbrit
Depuis une semaine, on n'entend parler que d'elle : la grippe du porc mexicain. On a fait plus classe mais heureusement nos institutions internationale l'ont rebaptisée (Dieu, nous te rendons grâce !)
Parce qu'annoncer à tout le monde "J'ai la grippe du cochon, groin-groin…" vs. "J'ai une grippe A, que c'est Mulder et Scully qui lui ont trouvé son nom" ajoute une touche de glamour non négligeable, certifiée par Nadine de Rothschild "Bonnes manières et savoir-être".
Alors que Roselyne Bachelot se bat bec et ongle pour que la pandémie ne se répande pas en France, que je cherche désespérément un masque antimicrobes siglé Versace et que certains prient Sainte Christine Bravo (et pourquoi pas ?) ;  il y en a une de mexicaine qui n'hésite pas à enfiler ses collants et sa culotte par-dessus pour combattre tous les malheurs de la terre et plus particulièrement le port du sombrero qui rend le cheveu gras et la silhouette tassée en forme de champignon.
Avec un A comme Grippe A, mais surtout comme Arielle Domsbale, cette super-héroïne débarque en force sur les ondes avec son nouveau single Extraterrestre extrait de son nouvel opus Glamour à mort, fruit de la création overdosée et hallucinogène de Philippe Katerine.
Et c'est ainsi qu'Arielle nettoie tout sur son passage et blanchit son image de bourgeoise d'opérette, tout en lessivant au passage les critiques qui aiment tirer sur les ambulances. E viva Arielle Domsbale !

Heu, c'est bien moi qui aie écrit cette critique élogieuse ? P'tain, j'crois que j'ai la grippe…



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