Dans le monde de John Doe, les aigles ont tendance à considérer les avions comme des congénères. Ainsi, les tentatives de copulation se soldent invariablement par des explosions de chairs, d’entrailles et de plumes.
Je sais, ce n’est pas forcément ragoûtant mais bon, la confusion est au sein du règne animal. La preuve avec ces Chiwawas excités qui ne cessent de considérer les jambes des humains comme de purs fantasmes sexuels.
Que les bêtes sont attendrissantes !
En ces occasions, j’envie les pierres qui n’ont d’autres raisons de vivre que de se vautrer lamentablement lorsqu’on les heurte du bout du pied (attention d’avoir chaussé des tongs en bois avant).
Et puis, elles roulent, elles roulent et elles n’amassent pourtant aucune bouse (c’est ça l’expression non ?).
Bon, si vous souhaitez vous replonger dans le monde de John Doe, c’est le moment.