Addendum 18h00 : l'affaire ne s'arrête pas là
Un groupe de sénateurs du parti libéral ODS compte toutefois contester une nouvelle fois le traité devant la Cour constitutionnelle, ce qui risque d'entrainer de nouveaux délais. L'un d'entre eux, Jiri Oberfalzer, a déclaré :
"Ce que j'entends en Europe, ce n'est pas un respect pour une opinion minoritaire, c'est une atmosphère de pression psychologique, de quasi-interdiction. Personne n'a demandé au peuple s'il souhaite la création d'un super-Etat européen, c'est pourquoi les choses se déroulent dans le flou de phrases vagues".
Le président Vaclav Klaus a déjà fait savoir qu'il attendrait le résultat de la saisine constitutionnelle avant de signer le texte dont il est un des plus farouches adversaires.