Comme on glisse d’une falaise vers un profond précipice
Et on crois se tenir un instant à une branche fragile
Je sens mon espoir d’un jour voir ma vie se faire joie
Disparaitre comme un le soleil avant les longs mois d’hivers.
Ce que j’avais, je le brise, en tentant de me débattre
Pour échapper au vagues de tristesse qui me submerge
Je perds mes forces et mon souffle dans cet océan de solitude
Tandis que mes larmes s’achève, brulées par mon chagrin.
Je renonce à toi, bonheur dont je rêvais
Je renonce à Toi, fille qui m’aurait aimé
La joie et les rires me sont semble-t-il interdits
Je vais vivre sans eux en attendant la mort
Subissant chaque jour comme un horrible effort