Celui, donc, qui hait
l’esprit du monde se délivre heureusement de tout ce qui peut lui causer des
peines et des chagrins; mais celui qui se laisse conduire par cet esprit et qui
conserve encore de l’affection pour les choses de la terre, n’est sûrement pas
exempt de tristesse et d’ennui. Eh ! Comment pourrait-il sans peine se voir
privé des choses qu’il aime ?
saint Jean
Climaque : L'Échelle sainte
«De la Nécessité de
se dépouiller des affections et des soins pour les choses de ce monde»