Le noir coule de ton regard déchaîné,
Une furie qui coure et crie jusqu'au dehors,
Comme une hyène, hurlant jusqu'à la mort,
Les caprices d'une femme trop comblée!
Fragile d'avoir tout eu et tout senti,
Pour qui L'ON DONNERAIT SA VIE
mAIS qui des quanrante ans maudits,
Ne veut plus vivre de cette sage vie!
Alors c'est la brillance et les paillettes,
Aller venir, faire la fête,
Assimiler des airs de jeunesse,
ET trop maigrir et des caresses,
Sur un corps trop serré , la peau fripée,
Prendre tenue des fashion victims,
Et aller nue jusqu'à la cime....
cOURIR, courir , sans plus penser,
Croire cet homme , le frais sentier,
Une petite place dans son coeur,
Et de tout passé la rancoeur!
Hair celui qui portait le flambeau,
Celui par qui tout est resté très beau ,
Comme une flamme éternelle,
Qui d'elle et d'eux, brillent dans leurs prunelles!
