Ils oublient bien sûr la religion catholique, majoritaire en France et fondatrice de notre culture et de notre pays :
"D'autres à l'inverse ont tendance à accéder à toutes les demandes de traitements différenciés formulés par les salariés en raison de leur religion, même les plus extrêmes, comme celles de salariés refusant de servir les femmes ou de manipuler de la viande de porc, ou exigeant de partir tous les vendredi avant la tombée de la nuit, pour cause de shabbat (...)"Beaucoup de choses assez simples peuvent être mises en place et ainsi améliorer la cohésion des équipes et le sentiment d'appartenance", selon Inès Dauvergne, responsable du guide, comme signaler à la cantine les plat contenant du porc, ou surveiller les calendriers religieux, pour éviter de programmer une convention annuelle en plein ramadan ou fête juive".
Et le repos dominical ne fait-il pas partie de la "diversité religieuse" alors que la Halde elle-même rappelait que "la liberté religieuse est la règle au sein de l'entreprise privée"? Non, il n'y a pas de paradoxe : le but est d'écraser l'infâme. Par tous les moyens.