qui remonte le moral.
Hier, malaise dans les transports. Atterri aux urgences. Prise en charge pénible. Tête inclinée vers le bas et pieds en haut, il faut que la tension monte absolument. Piquée régulièrement pour recadrer le taux de glucose trop bas aussi. Bourrage de vitamines. Le corps est faible et le moral plutôt down car aucun miracle n'aura lieu. Aide d'un super psychiatre qui perçoit l'énormité dans l'éducation par S. Qui comprend aussi comme moi que les parents contribuent en patrtie aux relations présentes et futures entre fratrie, réfuté par S. Comprend aussi que j'emploie le terme "était ma soeur". Il en rigole vu ce que je lui en raconte et comprend l'emploi du passé. Comprend aussi que l'unique argument de S sur "adoption", "souffrance" est bien débile. Comprend que je me bataille car j'ai enfin besoin qu'à défaut de compréhension de la part de l'entourage, la justice reconnaisse que B était constamment hors la loi. Tout être humain a le droit au respect et non à être piétinée gratuitement sans preuve.
Il a eu l'encologue et ils sont tombés d'accord qu'il faille absolument que je reprenne du poids. J'ai tenté hier un rythme avant le cancer et naturellement, rien n'a suivi. Ce super médecin a compris que les agissements de B m'ont plus que fragilisés. Il m'a fourni une attestation qui sera utile devant le Tribunal si B persiste toujours autant dans ses saletés.
Je vois mon avocat la semaine prochaine. Encore quelques paperasses à faire, à régler. Puis destination maison de repos.