Oui j’ai mis le temps, mais je connais les SEIZE chiffres. Et la date de péremption. Et le code de sécurité.
Rigole mais ça facilite drôlement les achats sur le net dans le métro (depuis l’iphone).
Je m’en suis rendu compte en achetant un accessoire complètement indispensable (autant que dispendieux) pour faire des photos de très près. Une bannette macro que ça s’appelle. Avec tu photographies une fourmi et sur l’écran de l’APN on dirait Godzilla.
J’exagère à peine.
Enfin je te dis ça mais je ne suis pas trop fan des insectes. C’est plutôt (le chien de Mickey) que j’arrivai pas à faire une photo de la mini goutte d’eau qu’était sur le pétale de ma rose.
Malgré qu’on voyait pas la goutte d’eau, j’ai balancé quand même ma rose sur Flick’r.
Parce qu’elle était belle.
Comme j’avais du temps, je me suis baladé parmi les photos des gens. Cliquant par-ci par-là pour voir avec quel matos et quels réglages ils prenaient leurs photos. Et j’ai découvert ainsi qu’il y avait plein de tricheurs qui retouchaient leurs images.
Au détour d’un scarabée rose j’ai découvert Picnik.
(enfin, je connaissais déjà mais que de nom parce que ça ne marchait pas avec Mac alors que maintenant si - ou alors c’est que du boulot le site était interdit, je ne sais pas, je ne sais plus)
Picnik c’est un retoucheur de photo en ligne. Pas d’inscription, pas de logiciel à télécharger, tu lui balances juste ta photo et tu as plein de possibilités: redimensionner, virer les yeux rouges et surtout faire pleins d’effets géniaux. Comme Photoshop mais en plus simple (et plus rapide).
Exemple. Tu prends une photo pourrie.
Et en même pas 10 minutes tu obtiens ça:
C’est toujours aussi pourri, mais tu t’es bien amusé.
(article complètement altruiste - mais si Picnic veut m’offrir un compte premium chez flick’r je refuse pas)