le feu de l'amour

Publié le 19 mai 2009 par Plouf
je n'ai rêvé de toi que par lointains mirages,
De rites d'autrefois, des chemins d'un autre age,
Quand le café brulant coulait de ses odeurs,
sur ta robe d'enfant , on devinait la peur!
Et la maère qui coure et te tire au passage,
N'est que peine perdue, brulures ton visage,
Pleure de cette errance à jouer près du feu,
Panique dans ta tête: moi qui suis amoureux;
Mais résister vingt ans pour dire que l'amour,
N'est fait que d'apparence et sans autre retour
Tu n'avais que huit ans , et je t'aime toujours,
je t'ai perdue de vue et voilà qu'à mon tour,
Je frappe à ta porte au delà des années,
Pour être avec toi, si tu veux m'épouser!
Malgrè toutes ces années l'oubli n'est pas de mise,
Oui tu seras à  moi ma si belle promise!