J'en étais restée au temps où la maladie d'Alzheimer ne se détectait qu'après le décès, moyennant découpe et culture du cerveau.
Je découvre qu'on peut maintenant déceler les traces de la maladie via un scanner, mais, surtout, qu'on peut en prévenir les risques.
Moi sur qui règne en permanence le spectre de cette maladie, laquelle a fait irruption un jour dans ma vie pour laisser des traces indélébiles (waw je parle bien, merci de verser une larme sur cette tranche de ma vie que je voudrais oublier... euh, oublier est-il le mot adéquat ?), les possibilités de prévention m'intéressent fortement.
Je me plonge donc dans la lecture d'un article hautement scientifique publié par un magazine féminin.
Quels sont les facteurs préparant un terrain propice à la maladie ?
L'alcoolisme
L'hypertension
L'hypercholestérolémie
L'excès de sucre et de gras dans l'alimentation
Le manque d'absorption de fruits et légumes
Le manque d'exercice physique
Pitié, je vais aller dans mon lit, Seigneur, faites que demain j'ai définitivement oublié ces conseils totalement en désaccord avec mon train de vie. Quoique, avoir oublié ne serait-il pas un mauvais présage ? De toute façon je suis foutue. Amen.