Depuis que j’ai mis les pieds à Tokyo, je comprends mieux la fascination que peuvent bien éprouver les japonais pour leurs poteaux électriques (dans les mangas par exemple) ! C’est graphique, foisonnant, ça scinde, lacère, fragmente l’espace.
Dommage qu’il faisait tout gris et livide le jour où j’ai pris ces photos ! Mes photos sont un peu sur-exposées.
Des ruelles:
Des zimmeubles:
Un zeste de Shibuya, le genre de quartier farfelus avec plein d’écrans, de banderoles, de publicités partout. C’est fou.
Entre modernité et tradition:
Et pour clore ce billet, petit instant de quiétude : deux vues nocturnes depuis les balconnets de l’hôtel (il fait nuit plutôt tôt):