Lu sur Novopress à propos de la chanteuse franco-algérienne Sheryfa Luna :
"A l’émission de Jean Marc Morandini, alors qu’elle évoquait son déni de grossesse et sa prise de conscience tardive du fait qu’elle attendait la vie, la chanteuse très populaire auprès des jeunes gens a déclaré au sujet de l’avortement qu’« à 6 mois, c’est pas un avortement, c’est un meurtre ». Pressée par son manager de l’époque de mettre fin à cette grossesse qu’il tenait pour désastreuse pour sa future carrière, l’homme lui aurait organisé un voyage « sanitaire » hors d’Europe. Préférant mettre en péril sa carrière que d’avorter, la jeune femme a mis au monde un petit garçon trois mois après l’annonce de sa grossesse et mène aujourd’hui de front carrière de chanteuse et rôle de mère.
Devant les caméras de Direct 8, chaîne de la TNT, Sheryfa Luna a également dénoncé le drame que représente l’avortement pour la femme qui s’y livre : « Psychologiquement, il faut supporter ce genre de démarche… » laissant entendre que pour sa part, cela l’aurait détruite.
Saluons le courage de cette femme qui fut enceinte à tout juste 20 ans et qui refusa de céder à l’appel de la stratégie commerciale.
Si à 6 mois, l’avortement est un meurtre, à 4 semaines comme à 2, c’en est un aussi."