Ce matin, je suis tombé sur un article relatant le décès la semaine dernière d’un ex-employé de BOR. Je suis resté interdit devant cette phrase dans le New Zealand Herald:
“The service was connected by conference call to colleagues around the world and to Wallbank’s family in New Zealand.”
Des funérailles par conf call! J’imagine bien -que voulez vous on mène une vie trépidante - quelques uns lire en même temps un ou deux e-mails. A quand scullbook le réseau social des morts?
Parfois je me sens déphasé…