Eh oui, malgré tous nos efforts pour prouver notre bonne foi, c'est le "voisin"
qui a gagné... Après bientôt huit ans de bataille juridique, le petit Père Ablin vient de perdre en appel.
Imaginez le ring : d'un côté, JJA, qui achète en 2001 la maison de son regretté voisin (celui-là était gentil, comme quoi le proverbe est juste : "ce sont toujours les meilleurs qui partent en
premier"). Aussitôt, il entreprend des travaux de rénovation, ce qui était bien nécessaire.
Peu de temps après, le propriétaire de la parcelle voisine (un grand terrain en friches et sans aucune construction) se manifeste. Premier signe de vie depuis vingt ans, jamais rencontré
auparavant... Avait-il soudain comme projet d'acquérir cette maison ? Alors, quelle que soit sa raison, il commence le combat. Les poids des deux lutteurs sont inégaux, étant donné la
position sociale de l'attaquant, mais l'attaqué se défend. La suite, après toutes ces années, vous pourrez la lire dans les articles parus dans la presse :
La Nouvelle République du Centre Ouest du samedi 23 mai 2009