Clairière aux atours étriqués, des demoiselles esseulées il ne reste que leurs colonnes spectrales où les corneilles se nichent en surplombant leurs proies.
Les cheveux se laissent happer par les hauteurs, étranges terminaisons mystiques qui nous laissent croire à des formes centenaires, gardiennes immobiles à la danse maléfique.