La même année étaient célébrés le bi-centenaire de la révolution française et le centenaire de la Tour Eiffel. Le printemps de Pékin avait été un événement terrible : mon père était en Chine et à Pékin à cette époque. Je n'avais aucun moyen de le joindre et j'avais passé une semaine d'angoisse à attendre de ses nouvelles. Un télégramme avait mis fin à mes inquiétudes : "tout va bien". Du printemps de Pékin et du massacre de la place Tian'anmen, mon père n'en avait rien vu et rien entendu. C'est un matin en prenant le bus qu'il s'était rendu compte qu'un événement grave c'était produit : des chars, des militaires, des traces de brûlé au sol et, je crois bien me souvenir qu'il avait vu un corps carbonisé que l'on n'avait pas encore évacué. Pour en savoir plus, cliquez ici
Il y a vingt ans...
Publié le 04 juin 2009 par Manuxyz
...C'était le Printemps de Pékinet le massacre de la place Tian'anmen
La même année étaient célébrés le bi-centenaire de la révolution française et le centenaire de la Tour Eiffel. Le printemps de Pékin avait été un événement terrible : mon père était en Chine et à Pékin à cette époque. Je n'avais aucun moyen de le joindre et j'avais passé une semaine d'angoisse à attendre de ses nouvelles. Un télégramme avait mis fin à mes inquiétudes : "tout va bien". Du printemps de Pékin et du massacre de la place Tian'anmen, mon père n'en avait rien vu et rien entendu. C'est un matin en prenant le bus qu'il s'était rendu compte qu'un événement grave c'était produit : des chars, des militaires, des traces de brûlé au sol et, je crois bien me souvenir qu'il avait vu un corps carbonisé que l'on n'avait pas encore évacué. Pour en savoir plus, cliquez ici
La même année étaient célébrés le bi-centenaire de la révolution française et le centenaire de la Tour Eiffel. Le printemps de Pékin avait été un événement terrible : mon père était en Chine et à Pékin à cette époque. Je n'avais aucun moyen de le joindre et j'avais passé une semaine d'angoisse à attendre de ses nouvelles. Un télégramme avait mis fin à mes inquiétudes : "tout va bien". Du printemps de Pékin et du massacre de la place Tian'anmen, mon père n'en avait rien vu et rien entendu. C'est un matin en prenant le bus qu'il s'était rendu compte qu'un événement grave c'était produit : des chars, des militaires, des traces de brûlé au sol et, je crois bien me souvenir qu'il avait vu un corps carbonisé que l'on n'avait pas encore évacué. Pour en savoir plus, cliquez ici