C’est comme le bonhomme de fer qui rouille sous la pluie. Mon esprit se grippe, ne cesse de fonctionner, mais à une autre idée ne peut passer. J’ai cessé de souffrir parce que j’ai décidé de ne plus être fautif. Comme je n’ai pas commis de faute, je n’ai pas de remord à avoir… Non ? Si c’était aussi simple. Les choix ne sont jamais simple. Pourtant il me semblait de mettre soleil en face de ciel gris, nuage en face de pollution, arbre en face de gratte-ciel, promenade en face de zigzag entre les trottoirs… Que tout serait clair, simple, facile. L’expérience montre que non, la grenouille est têtue. Et maintenant ? Que sera l’avenir ? Parfois j’ai l’impression qu’il est trop, d’autre matin non. Je dirais que l’incertitude prédomine mais que demain y répondra bientôt. La volonté d’avancer aide dans ce sens. Une histoire de Mahomet et de montagne sans doute.
J’aimerais que demain ressemble à mon texte d’il y a deux jours… Pourquoi ? Simplement que c’est plus que neccessaire. Une fois en paix avec moi-même, j’aurais le temsp de vivre. Je pourrais franchir des montagnes, accéder à un pouvoir qui se fond en moi. Celui de créer. Mais si l’avenir n’y ressemble pas ? Et bien, un autre avenir en prendra la place. Je ne sais pas s’il sera sombre ou autre. Comme un enfant avec cette histoire de robot qui revient du futur. Quelle histoire puisqu’en fin de compte peu importe les événements, le temps lui, ne cesse de passer.
— Eleken,
J’ai éviter les gouttes
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble