Partis à la chasse qu’ils ont tirée100 coups fées rire
Dodécaphoniques
Dodos en phase lubrique… Pat & Tics
Somme toute logique : tant va la cruche… allo ?
Il n’y a plus d’abonné au numéro usagé qui vous a laminés
Et y’a même plus de papier ; plus moyen d’se torcher…
Les accros du clavier pleurnichent sur la plume
Qu’ils ont coincée dans l’fion, putain ce qu’ils sont cons!
Ecriture-prétexte pour pallier solitude
Ecriture-pirouette, rendez-vous sous la couette…
Comme tout ça est abject,cot cot cot codec…
Fantasmes éculés, fantômes énamourés
Recherche «âââme-sœur » pour me dépatouiller…
Nausées….
Poétesses en chaleur gerbant l’insanité
Rimes endimanchées pour se faire emmancher
Baratineurs frustrés à force de se lustrer
Ils contemplent alanguis leur reflet affadi
De leurs écrits jaunis qui sent la pisse froide, le sperme recueilli de leurs pauvres envies
Que je conchie, maudis, ris d’ veau moisi au relent de lait caillé, insipide
Qui me laisse impavide, un pas et je me vide
Impasse
Et père la pudeur au dessus du troupeau de ces affreux jojos
Gérant de ce vulgaire érigé en géant, sous la loupe
Mange ta soupe, fais des glurp et essuie à ta manche
Ta bouche bavassanteet ton esprit des lois
Petite oie au foie démesuré
Oiseau immaculé qu’on gave à l’entonnoir
Qui se repait du noir, entonnant l’hallali
O ! Se voir élevé au rang des intrigants
J’irai m’cacher derrière vos trombes pour m’exclamer :
6JDK
Des cacas d’oie en pattes de mouche
Desrats des villes, des saintes nitouches
Des imbéciles, des petites frappes
Qui voient le vil quand on dérape
Desindigents qui crient « maman ! »
Des vols au vent « ha, si seulement… »
Ci-gît pourquoi, ci-gît va-t’en
Ci-gît l’étroit des larmoiements…
Gargarisant leur sein d’une douce euphorie
Qu’ils ont l’outrecuidance de nommer leur folie
Juste pour la faire rimer, tellement elle est jolie…
Plus on est d’fous plus on rit….hi, hi, hi
Du moment qu’on n’joue pas le jeu de l’interdit.
« Qu’est-ce que j’suis drôle quand j’fais ma folle
Qu’est-ce qu’on rigole, un peu comme à l’école
Mais si ! J’adore ça, la folie, tant qu’on reste polis
Qu’on s’en tient à c’que j’en ai compris
Et qu’on n’me fasse pas chier en tristes arguties
La folie sans gaité c’est comme un verre de lait…
Voilà, on est d’accord, on va se raconter
Diligenter l’effort, et bien nous protéger
Ne parlons pas de mort, de tout c’qui peut fâcher
Chantons plutôt l’Amor, et tout c’qui fait bander
T’as vu comme j’sais changer un mot dans une phrase insensée ?
T’as lu comme j’plaque mes maux, c’est si loin Guernesey ? »
La folle des chats faux rappelle aux haschischins
Que la date de péremption inscrit sur la barrette
Dépasse au ras mon herbe, et tue les assassins
De la poésie que je foule,
Agoraphobe aphone que je suis
Tandis qu’ils se défoulent,mais ils chaussent petit
Et la merde n’éclabousse que leurs fragiles chevilles…