"Après s’être infiltrée dans la communauté musulmane du quartier de Molenbeek à Bruxelles (ou plus d’un tiers des habitants est musulman), la journaliste muslmane Hind Fraihi a enquêté pendant 2 mois et écrit le livre « Infiltrée parmi les islamistes radicaux», (cliquer sur le lien pour avoir un résumé), publié par les Editions Luc Pire (...)
Ce livre sur la montée de l'extrémisme musulman en Belgique ayant fait beaucoup parler de lui et même choqué, la télévision belge est allée sur place pour filmer et interviewer Hind Fraihi. Il suffit de cliquer ci-après pour visualiser la vidéo.
Celle-ci met en évidence un rejet des valeurs occidentales par les jeunes les plus radicalisés, à tel point que pour des jeunes musulmanes radicales l'idéal est d’épouser un guerrier mulman (on appelle les fiancées du Jihad) …
Les autorités ont conscience d’un potentiel de violence dans le quartier de Molenbeek, où la situation est très tendue et où les policiers ont bien peur que l’autorité de l’Etat ne règne plus; les islamistes considérant désormais Molenbeek uniquement soumis à l'autorité et à la loi islamique (ainsi que commenté dans la vidéo).
Et dans leur propagande, la religion n’est plus une affaire privée ; toute la vie devenant islamisée … De plus en plus de jeunes dans de petites villes où dans des zones rurales sont infestés par l'idéologie islamiste.
Selon Hind Fraihi, un rôle majeur est joué par les médias arabes, reçus par satellites même dans les zones les plus reculées".
On peut en effet se plaindre du "rejet des valeurs occidentales". Mais quelles sont-elles? Qui en vit visiblement? Qui les maintient? Qui les défend publiquement? Quel homme fort se dresse en protecteur de "l'Occident chrétien" (Benoît XVI, mercredi 10 juin 2009)?
Quant à l'idéal du guerrier musulman, il peut se justifier en réaction de ce que deviennent réellement les jeunes hommes européens. Regardons-les dans la rue chaque jour : on est loin du guerrier franc ou du croisé respecté par les musulmans.
Condamner la montée de l'islam et la combattre, oui. Mille fois oui. Mais pas seulement sur la surface électorale et démagogique, mais en plein jour, quotidiennement et dans la profondeur de notre culture et dans la force de l'affirmation de notre foi catholique et de notre identité française. Mais il faudrait accepter d'en prendre les risques.