"Nos candidats n'étaient pas en position éligible mais leur présence était un signe d'unité."
Passons sur le fait que leur présence n'était pas un gage de respect des points non négociables et revenons en arrière. En janvier très exactement. Lorsque Christine Boutin avait déclaré :
"vouloir qu’au moins cinq sur ces huit candidats soient retenus au final sur les listes UMP, dont deux en position éligible".
On sait ce qu'il en est advenu. Néanmoins, Christine Boutin se félicite :
"Le FRS a amené les voix des électeurs qui avaient voté non au référendum de 2005."
Et qui avaient voté non à l'ignoble Charte des droits fondamentaux. Mais cela ne la perturbe pas. Et elle compte bien continuer. Ceci explique sans doute cela.