degré III, XXVIII
Publié le 13 juin 2009 par Moinillon
On trouverait difficilement
quelqu’un qui ait abandonné sa patrie et ses proches avec une générosité et une
perfection semblables à celles du saint patriarche Abraham. À peine eut-il
entendu ces paroles de Dieu : «Sors de ton pays, de ta parenté et du sein
de ta famille !» (Gen 12, 1), qu’il se mit en chemin sans hésiter, quoique
ce fût pour aller au milieu des peuples barbares et dont il ignorait le
langage.
saint Jean
Climaque : L'Échelle sainte
«De la fuite du
monde»