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Facebook or not facebook

Publié le 14 juin 2009 par Anaïs N.
FACEBOOK OR NOT FACEBOOK J'ai reçu une invitation à signer une pétition contre une hypothétique version payante de Facebook à dater de 2010. Je n'ai pas adhéré à cette cause. Pourquoi ? Pour la simple et unique raison que je m'en fiche éperdument. Si le service devient payant, ma fiche disparaitra de cette communauté purement et simplement.
Je pars du principe simple que j'ai vécu avant l'avènement de Facebook et je lui survivrai. Du reste, si je suis honnête et que je me pose les bonnes questions, celles qui sont essentielles, évidemment, à commencer par la principale. "Que m'apporte Facebook ?" Je suis tentée de répondre RIEN, absolument RIEN.
Pourtant, je vais, je viens, je suis active puisque j'ai mis en place plusieurs groupes mais dans le concret ou la vraie vie, Facebook n'apporte aucune valeur ajoutée à ma vraie vie. Sur ma liste d'amis, épurée de temps à autre des voyeurs et autres indésirables, quels sont ceux avec lesquels j'échange vraiment ? Mes deux filles et deux ou trois amis, dont un complètement virtuel. Les autres ? J'ai deux amis d'enfance qui sont là mais qui une fois la curiosité des retrouvailles passées ne donnent aucune nouvelle. Je lis leurs informations comme ils lisent probablement les miennes, et puis ? ... Rien.
Je réponds donc que si Facebook devenait payant, je me retirerai comme la vague après la marée et cela n'otera rien à ma vie présente et passée...
Notre époque est devenue virtuelle, pour ne pas dire artificielle. Il y a deux ans, et c'est si peu deux ans, je n'étais addict à aucun de ces moyens de communication et je me portais ausi bien, sinon mieux, car combien de déceptions entre l'avènement Copains d'avant et Facebook ?
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est une démarche différente mais je refuse à présent de payer mon écot à cette Communauté. Je m'accomode des outils gratuits existants et c'est la raison d'être et la philosophie de ce site. C'est peut être la raison pour laquelle j'ai beaucoup bougé, pas mal essayé de formules, testé des gadgets...
Si Facebook facture ses services, il n'aura plus la même vocation et perdra une grande partie de ce qui a fait de lui un phénomène de société et un cas à part. Il rentrera dans les rangs de ces clubs fermés qui ne fédèrent qu'une minorité à vocation professionnelle, sportive, associative voir sélective...
Dommage. Pour ma part, je ne suivrai pas le mouvement.
Affaire à suivre...

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