La ville qui n'existait pas (Philippe Ebly)

Huitième récit des Conquérants de l'impossible, il emmène notre trio (Serge, Thibaut et Xolotl) en randonnée aux pieds des volcans auvergnats. Alors que la journée s'achevait, ils découvrent l'entrée d'une grotte. Ils décident de l'explorer et tombe sur une vallée souterraine éclairée a giorno. Ils découvrent une civilisation inconnue et étrange d'où l'électricité est bannie, mais peuplée de milliers d'oursons servant de domestiques et d'un mystérieux archonte.
Encore une fois, le dépaysement est au rendez-vous, l'aventure aussi et quand nos amis se découvrent prisonniers de ce monde merveilleux, il faut qu'ils trouvent le moyen de s'en échapper.
Philippe Ebly est sans doute dans sa meilleure période créatrice. Il enchaîne les romans formidables et celui en fait incontestablement partie. On se plait à rêver de découvrir l'entrée de la grotte en question pour plonger dans l'inconnu comme si le merveilleux était à portée de la main et qu'il suffisait d'un peu d'audace pour y plonger complètement.
Un petit mot sur Yvon Le Gall, lui aussi au sommet de sa forme qui donne chair à l'imagination du romancier. Ses image sont à jamais gravées dans l'esprit des lecteurs de l'époque comme l'incarnation définitive de ces aventures.
Dominik